top of page
Photo du rédacteurJade Ohanian

Anecdotes de profs


 
Romain Borrelli

M. Borrelli

Café timide


Lorsque M. Borrelli est arrivé à l’École, en 1997, le directeur de l’époque M. Fuchs ne l’avait engagé que pour trois mois, pour remplacer un professeur et terminer l’année scolaire. Il se trouve que le premier jour de M. Borrelli à l’École est tombé… Un 1er avril ! Lors d’une récréation, certains de ses collègues lui expliquèrent que la machine à café se situait dans la salle des professeurs - une salle imposante avec de belles boiseries. Dans cette salle, certains professeurs d’un certain âge discutaient et riaient à gorge déployée. M. Borrelli fut tellement impressionné qu’il prit son verre de café et partit le boire dans le couloir sans oser rester dans la pièce ! Il eut besoin de plusieurs récréations avant d’avoir le courage d'entrer dans la salle des professeurs !



 

Clémence Bourdier

Mme Bourdier

Une prof (très) attentionnée


Peut-être le saviez-vous, peut-être pas : Mme Bourdier est une ancienne élève de l’École.* Lorsqu’elle était en 5e, sa professeure de classe s’appelait Mme Hammel, et enseignait l’histoire-géographie. Durant cette même année, Mme Bourdier s’est fait renverser par une voiture. Résultat : jambe plâtrée, et confinée à la maison ! Elle fut contrainte de rester chez elle pendant plus d’un mois. Chaque jour, ses camarades lui apportaient les cours et les devoirs, car à l’époque il n’existait ni École Directe, ni Google Classroom. Ainsi, à une époque où les téléphones portables et les réseaux sociaux n’existaient pas, Mme Bourdier était très heureuse de recevoir la visite de ses camarades. Un jour, sa mère lui annonça que Mme Hammel allait, elle aussi, lui rendre visite ! Mme Bourdier était très intimidée ! Un après-midi, Mme Hammel se rendit donc au domicile de son élève, chargée de douceur, de sollicitude, de bonne humeur… et de quelques devoirs ! Elle apporta également un carnet de la part des élèves de la classe rempli de mots gentils, de plaisanteries et de dessins destinés à la distraire durant son absence. Aujourd’hui, Mme Bourdier possède toujours ce carnet, et l’ouvre parfois en repensant à Mme Hammel et à ses vieux camarades de classe.



 

Marine Nahooray

Mme Nahooray

Course-poursuite !


Bonjour à toutes et à tous,

Si vous ne me connaissez pas, je suis professeure d’anglais à l’École alsacienne depuis maintenant quelques années. J’ai également été élève à l’École du J.E. à la terminale. Une de mes élèves, Jade, journaliste chez Graffiti, m’a demandé de vous raconter une anecdote sur l’École… J’en ai des milliers mais je pense que celle-ci vous parlera plus qu’une autre.

Vous connaissez les cours d’E.P.S. ? À mon époque, l’échauffement consistait à faire plusieurs fois le tour de l’École. On partait de la cour des sports pour passer devant le pavillon de la direction (la maison blanche) puis pour redescendre par l’escalier de la cour des 6e/5e et ainsi rejoindre la cour des sports… Et cela plusieurs fois de suite. Autant j’étais une amoureuse du volley-ball, autant je ne voyais pas l’intérêt de courir pour m’échauffer - grossière erreur ! Croyant avoir trouvé une solution géniale, je me cachais derrière tout ce que je trouvais sur mon parcours pour éviter de faire ces tours épuisants. Malheureusement pour moi, mes professeurs d’E.P.S. ne sont pas restés dupes très longtemps, et ont su me débusquer ! Ils savaient bien que je me cachais… et j’ai très vite compris que j’allais devoir faire le travail qu’on me demandait. Trois tours supplémentaires ont donc largement contribué à me convaincre de l’utilité d’un bon échauffement !

Même quand le travail vous semble pénible, profitez de tous ces moments passés à l'École : il vous en restera de merveilleux souvenirs. Et surtout, n’oubliez pas que tous ces professeurs qui vous poussent souvent à vous dépasser, ne sont jamais dupes, et ont été élèves eux aussi ! 😉



 

Valentyna Kryuochkova

Mme Kryuchkova

Les galettes bretonnes… À Florence !


Lors de sa première année à l’École alsacienne, Mme Kryuchkova a accompagné les élèves de seconde à Florence. Le programme du voyage était très chargé : Mme Kryuchkova et ses élèves ont dû faire plus de seize exposés sur plusieurs sites différents en l’espace de trois jours ! La veille du départ, les élèves - et les professeurs - ont eu droit à un quart d’heure de libre devant le marché de Noël. Alors que Mme Kryuchkova profitait de ce temps libre pour acheter quelques gourmandises locales en guise de souvenir pour sa famille, plusieurs élèves de son groupe se dirigèrent vers elle et lui firent remarquer qu’elle s’apprêtait à acheter… Des galettes bretonnes !



 

334 vues
bottom of page